83 % des Français considèrent que les entreprises doivent proposer à leurs salariés des solutions pour leur bien-être. L’annonce du gouvernement de réduire les dépenses de santé et des remboursements des généralistes est inadmissible pour 61 % des Français. 87 % des salariés sont intéressés par une carte de santé proposée par leur entreprise afin de pouvoir obtenir des avances sur l’ensemble de leurs frais de santé et 54 % des Français se déclarent pessimistes pour 2025.
Lorsque les Français doivent choisir une seule préoccupation pour 2025, c’est la santé qui arrive en première place avec plus de 38 % de votes. Elle est suivie du pouvoir d’achat en deuxième position avec 15 % de représentativité puis de l’emploi avec 13 %.
Face aux tensions économiques, 49 % des Français avouent craindre de devoir peut-être renoncer en 2025 à certains soins de santé pour des questions d’argent. Pour autant, 44 % déclarent que la santé passe avant tout et que les raisons financières ne seront pas prises en compte dans leur décision.
A noter que 7 % ne peuvent pas répondre ouvertement à cette question.
Globalement, près de 83 % des Français considèrent que les entreprises doivent proposer à leurs salariés des solutions et des services pour optimiser et améliorer leur bien-être. Dans le détail, 41 % pensent que c’est une mission importante et que les sociétés font des progrès sur ce point. 34 % avouent que ce rôle des entreprise est primordial mais que peu de choses sont faites dans ce sens. 8 % trouvent cela utile mais peu nécessaire. Enfin, 17 % des Français estiment que ce n’est pas aux entreprises de s’occuper du bien-être des salariés.
Le gouvernement Français a déclaré en octobre 2024 que certaines dépenses de santé seront réduites et que les consultations chez les médecins généralistes seront également moins bien remboursées par la Sécurité Sociale. Sans appel, plus de 61 % des Français trouvent cette annonce totalement inadmissible.
Seulement 36 % considèrent que ce genre de mesure est nécessaire pour améliorer la situation budgétaire du pays.
Dans cette quête du bien-être et en réponse aux déclarations du gouvernement, plus de 87 % des salariés seraient fortement intéressés par une carte de santé proposée par leur entreprise afin de pouvoir obtenir des avances sur l’ensemble de leurs frais de santé.
« Selon une étude IFOP 2023, un Français sur quatre a déjà renoncé à des soins ou des examens médicaux pour des raisons financières. Nous sommes convaincus que les entreprises doivent accompagner les salariés dans leur parcours santé. Nous avons donc lancé en octobre 2024 une carte baptisée « Budget’Santé » en partenariat avec Diot-Siaci, leader du conseil et du courtage en assurance.
Cette carte (certifiée ISO 27001) permet l’avance de frais de santé pour les 3,5 millions d’assurés Diot-Siaci accompagnés au quotidien.
Cette initiative novatrice devrait être à la disposition de toutes les entreprises et de tous les salariés Français afin d’améliorer concrètement et surtout simplement leur bien-être et leur santé », a déclaré Arbia Smiti, fondatrice de Rosaly.
Pour l’année 2025, les finances des Français resteront très certainement à la deuxième place dans le classement de leurs préoccupations. En effet, plus de 41 % des personnes interrogées estiment que leur situation financière risque de baisser l’année prochaine et 33 % de stagner. Seulement 26 % espèrent que leurs finances augmenteront en 2025.
L’arrivée de la nouvelle année ne va pas rimer avec positivité. En effet, les Français se sentent moyennent pessimistes à 29 % et très pessimistes à 25 %, soit un total de 54 % ! De l’autre côté, 41 % des Français restent optimistes : 18 % totalement et 23 % moyennement.
*Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 3 101 personnes de plus de 18 ans. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27 500 personnes en France). Entre novembre 2024, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.