“Après la pandémie et lors de la reprise de notre activité, nous n’avions la même de marge de manœuvre pour augmenter nos collaborateurs.”
Grâce à son important développement, Bleu Libellule a toujours eu les moyens de mettre en place une politique de rémunération généreuse. Comme pour beaucoup d’entreprises, la Covid a rebattu les cartes et modifié cette dynamique de tout le groupe Provalliance dont fait partie Bleu Libellule.
“Nous nous sommes retrouvés dans une situation où on ne pouvait pas augmenter les collaborateurs, alors que certains d’entre-eux commençaient à ressentir des difficultés financière face à un coût de la vie qui avait déjà commencé à augmenter.”
C’est dans ce contexte que la direction RH de Bleu Libellule s’est tournée vers Rosaly pour mettre en place le salaire à la demande et ainsi offrir plus de flexibilité à ses salariés.
“Un jour, un collaborateur m’a dit qu’en fin de mois, quand il achetait sa baguette de pain 1€, il la payait en réalité 9€ à cause des agios. Son salaire, il l’a déjà acquis mais ne peux pas s’en servir avant la paie. Et là, je me suis dit que ce n’était pas normal, qu’il fallait un salaire à la semaine.”
Cécile Ferlandin souhaitait mettre en place un salaire à la semaine, inspiré par les modèles anglo-saxons pour offrir plus de flexibilité aux collaborateurs. La contrainte : la charge de travail que cela représente pour les services de paie. La solution ? La mise en place d’un salaire à la demande et d’une gestion externalisée des acomptes sur salaire.
“Parmi les solutions que nous avons consultées, certaines facturaient le versement des acomptes aux salariés. Ça, ça me gênait, car cela se rapproche du fonctionnement d’un crédit. Donc j’ai présenté la solution Rosaly à la direction du groupe et ils ont tout de suite adoré.”
“Avant la mise en place de Rosaly, c’était une personne sur dix qui faisaient des acomptes sur salaire, et pourtant aujourd’hui, c’est 50% des salariés qui en font et donc une personne sur deux qui en a besoin.”
Une augmentation significative qui prouve que le besoin existait mais n’était exprimé que par une petite partie des salariés. Une augmentation qui atteste également de la pertinence de la solution pour réduire le stress financier des salariés.
« Des pairs avec qui j’ai pu discuter se demandaient si un nombre important d’acomptes n’était pas un signal d’alerte. Ma perception est la suivante, cela montre justement que nos collaborateurs ont des besoins, qu’ils sont responsables de leurs finances et qu’ils agissent pour réduire leur stress financier. »
Labellisée Great Place to Work et entreprise libérée, Bleu Libellule a fait de la confiance, de l’autonomie et de la flexibilité, ses fondements en matière de management et de stratégie RH.
“On donne beaucoup d’autonomie aux collaborateurs et on les responsabilise dans leur propre gestion. Grâce à l’auto-planification, le choix du temps de travail modifiable tous les 6 mois et maintenant la liberté de se payer quand ils veulent”.