Étude : Les Français et leur bien-être financier

Résumé de notre étude avec Opinion Way sur le bien-être financier des français

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L'équipe Rosaly
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Sommaire

Le pouvoir d’achat est un sujet qui préoccupe fortement les Français. Afin d’en savoir plus sur les souhaits et les besoins des Français relatifs à leur pouvoir d’achat, Rosaly a mandaté OpinionWay pour réaliser une étude. L’objectif étant de mesurer les sentiments des salariés français par rapport à ce pouvoir d’achat tout en cherchant à mettre en avant les solutions envisagées par ces derniers pour gérer leur budget et épargner.

Méthodologie de l'étude

L’étude a été réalisée en janvier 2022 sur 2055 personnes, âgées d’au moins 18 ans. Ces échantillons de personnes ont été constitués selon des méthodes de quotas, afin d’être représentatifs en termes d’âge, de sexe, de catégories socioprofessionnelles, de type d’agglomérations, mais aussi de régions de résidence.

Quels sont les résultats?

De nombreux thèmes ont été traités parmi lesquels l’épargne, le stress financier ou encore les solutions envisagées.

72 % des femmes et 77 % des 25-34 ans ont peur des dépenses imprévues,

  • 82 % des 25-34 ans et 75 % des femmes émettent le souhait d’épargner plus en 2022 qu’en 2021.
    La plupart des personnes interrogées évoquent la crainte de voir leurs projets 2022 modifiés, voire annulés, à cause de contraintes budgétaires.
  • 61 % des femmes craignent une baisse de leurs revenus, ainsi que 63 % des 18-24 ans.

1/3 des Français aimeraient être payés en plusieurs fois.

  • Plus de la moitié des répondants aimeraient mieux gérer leur budget. Cela concerne en priorité les jeunes (71 % des moins de 35 ans) et les foyers dont les revenus mensuels sont inférieurs à 2000 €.
  • D’ailleurs, plus de 6 jeunes sur 10 souhaiteraient toucher plus régulièrement leur paie afin de faire face aux dépenses imprévues et d’équilibrer leur budget. C’est pourquoi il a été proposé aux salariés de modifier le rythme de versement de leur salaire. 37 % d’entre eux se sont montrés favorables selon la répartition suivante :
  • 39 % souhaiteraient un paiement toutes les deux semaines
  • 27 % opteraient pour un paiement du salaire chaque semaine

Les Français n'osent pas faire une demande d'acompte sur salaire.

Par ailleurs, même si l’acompte sur salaire est possible en France, seuls 26 % des répondants déclarent y avoir déjà eu recours ou pourraient le faire à l’avenir. Cela concerne surtout les jeunes (36 % des 18-24 ans et 35 % des 25-34 ans), les foyers avec des revenus inférieurs à 2000 € mensuels (31 %) et les personnes résidant en Île-de-France (33 %).

34 % des répondants n'oseraient pas demander, 14 % d’entre eux ont peur que leur demande ne soit refusée, 13 % redoutent les formalités administratives et 11 % déclarent ne pas connaître ce droit.

Il a également été demandé si des alternatives avaient déjà été prises par les répondants en termes de gestion financière. On retrouve ainsi plusieurs outils, fortement plébiscités par les femmes et les jeunes. Parmi eux :

  • La répartition des revenus par semaine est une solution qui a séduit 61 % des 18-24 ans et 44 % des femmes.
  • L’utilisation exclusive des espèces pour les loisirs est encouragée par 58 % des 18-24 ans et 48 % des femmes.
  • Un budget planner a déjà été utilisé chez 59 % des 18-24 ans et 53 des femmes.
  • Des applications de suivi des dépenses ont eu du succès pour 51 % des 18-24 ans et 32 % des femmes.
  • Enfin, la solution de répartir ses revenus dans des enveloppes dédiées a déjà été adoptée par 49 % des 25-34 ans et 40 % des femmes.

Qu’en conclure ?

La première chose mise en avant par cette étude est que les salariés français, surtout les jeunes sont mal informés sur leurs droits et peu accompagnés. Même si des solutions existent, la plupart d’entre eux se montre dépassés.

En France, on ne parle pas d’argent avec son employeur : c’est tabou.

La gêne d’évoquer des difficultés financières est omniprésente. Par ailleurs, si les salariés français semblent ignorer qu’il est possible de demander un acompte sur salaire, la plupart d’entre eux préfèrent pourtant utiliser leur épargne pour faire face aux imprévus. Mais cela concerne surtout les plus de 50 ans (56 %) et les foyers avec des revenus compris entre 2000 € et 3500 € par mois (51 %).

L’étude d’OpinionWay met aussi en avant l’appréhension des Français pour les dépenses imprévues, surtout après plusieurs années de crise sanitaire et économique. Cela touche d’autant plus les jeunes (77 %) et les femmes (72 %) qui craignent de voir leurs projets contrariés par des contraintes budgétaires, ainsi qu’une baisse de leurs revenus.
Cela se ressent également dans les envies d’épargner pour lesquelles, une fois encore, les femmes (75 %) et les jeunes se distinguent (82 % de 25-34 ans et 78 % de 18-24 ans).

Une nouvelle manière d'être payé

Enfin, l’étude met en avant le besoin de modifier le mode de versement des paies afin de lutter efficacement contre les problèmes budgétaires des foyers. Cette solution séduit 1/3 des Français, et plus de la moitié des moins de 25 ans !

Être payé en plusieurs fois, concrètement, c’est possible.

A la suite de cette enquête, par ailleurs reprise et interprétée par plusieurs médias, de nombreux DRH ont réagi. Ils expliquent qu’en France le Code du travail ne permet pas le règlement échelonné des paies qui serait par ailleurs très complexe à mettre en place, engendrant des hausses de coûts.

Toutefois, une solution existe avec Rosaly, qui permet le paiement échelonné des salaires.

Le fonctionnement de la paie à la demande avec Rosaly.

Rien n’empêche à l’entreprise de faire appel à une société extérieure pour l’accompagner dans une démarche de politique sociale auprès des salariés, en leur permettant de faire face aux imprévus.
C’est là qu’intervient Rosaly. Cette fintech à impact social B-Corp s’est lancé le défi de révolutionner le bien-être financier des salariés, en proposant une solution de paie à la demande et un dispositif d’éducation financière.

Etre payé en plusieurs fois permettrait de mieux gérer son budget et donc de lutter contre la précarité.

Sur son interface, Rosaly permet aux utilisateurs salariés de demander des avances sur salaire en quelques manipulations simples. Le transfert de fonds est quasiment immédiat, ce qui répond aux besoins exprimés par les Français dans la gestion de leur budget. Cette proposition simple et automatisée permet donc d’accéder avant la fin du mois à une partie du salaire, sans frais ni intérêts.


Du côté des entreprises, tout le process est automatisé. La solution digitale proposée par Rosaly est compatible et intégrée aux logiciels générant la fiche de paie afin de faciliter la gestion des services RH. Par ailleurs, l’avance de trésorerie demandée par les salariées est prise en charge par Rosaly, ce qui n’engendre aucune sortie de fonds pour les employeurs et donc aucun changement d’organisation.

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